quoi ? une mustang dans un fender supersonic* ? pour un groupe de punk-rock ? c’est une hérésie, me diriez-vous, mais les rebel assholes, en dépit de leur nom de groupe juvénile, ont mûri, et leur prochain ep risque fort de surprendre (mais dans le sens « bonne surprise », pas comme quand éric va faire les courses pour le repas du midi). encore une journée de prise lundi pour finaliser leur oeuvre, et on attaque le mix.
* jérôme, si tu nous lis, c’est un modèle 60w.
rebel assholes
rebel assholes
aujourd’hui, deuxième session hivernale avec les rebel assholes, frère. au programme : de la neige car c’est l’hiver, des guitares parce que c’est du rock, et du chant lead parce qu’il en faut pour faire chanter les foules, askip*.
* comme disait black m en 2016
rebel assholes
rigueur, concentration et opiniâtreté sont de mise aujourd’hui pour les quelques rebel assholes qui ont survécu, la basse étant tout bien considéré une affaire des plus sérieuses, et dépit des pratiques vestimentaires extravagantes de certains ex-montbéliardais précédemment moustachus, mais c’est un peu comme lorsqu’on modifie une ligne de basse : il faut voir porté.
rebel assholes
plus de dix ans après leur dernière visite chez nous, nous accueillons en ce début d’année* les légendaires rebel assholes, qui viennent enregistrer cinq titres pour un ep à paraître début avril. 15 ans passés à sillonner le monde à la gloire du punk-rock ont fait apparaître ridules et pattes d’oie sur leurs délicats visages, mais leurs traits d’esprit n’ont rien perdu de leur fraîcheur (d’aucuns diraient qu’ils n’ont par conséquent pas gagné en maturité, et ils pourraient avoir raison, mais qui sommes-nous pour juger ?).
* bonne année tout ça