début d’une session de trois jours avec le duo lédonien spoon god, entre neo-krautrock et post-shoegaze, pour amateurs éclairés de boîtes à rythmes hétéroclites et disparates, de sirupeux violons artificiels et d’éthérées ambiances synthétiques (grosse promo sur l’épithète aujourd’hui, on se croirait dans un article des inrocks sur le dernier charlotte gainsbourg).