65 mines street

grosse pression aujourd’hui au studio : 65 mines street viennent maquetter quatre titres avant de partir à los angeles enregistrer leur prochain album. grosse pression disais-je, car toutes les entrées de notre interface audio sont utilisées (28 lignes simultanément), mais également grosse pression dans le bas du spectre, c’est un groupe de reggae quand même, et grosse pression enfin car l’enregistrement se fait en situation de live. ceux qui l’ont pratiqué savent. heureusement, la disposition du studio leur permettra de réparer les éventuels petits accidents sans coup férir.
65 mines street

smoking kills

en attendant les prises de voix que nous commencerons en fin d’après-midi, on finit l’harmonica commencé nuitamment et on attaque les guitares lead. guitare gibson sg dans notre fameux marshall jcm800 comme son de base, tout n’est plus qu’une question de doigts et de feeling.
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smoking kills

début d’une session de quatre jours avec smoking kills, groupe de blues géographiquement assez épars mais globalement plutôt en provenance de l’aire urbaine (toutefois un membre de l’orchestre a quand même un fort accent alsacien, ça brouille les pistes). Cinq titres au programme, la batterie est sur la bande, donc on attaque sereinement le reste du bazar – basse, guitares, harmonica et chant.
smoking kills