début d’une session de quatre jours avec smoking kills, groupe de blues géographiquement assez épars mais globalement plutôt en provenance de l’aire urbaine (toutefois un membre de l’orchestre a quand même un fort accent alsacien, ça brouille les pistes). Cinq titres au programme, la batterie est sur la bande, donc on attaque sereinement le reste du bazar – basse, guitares, harmonica et chant.