scions, scions, scions du bois

aujourd’hui, après les guitares et la basse musclées de the black zombie procession, et avant une petite session acoustique avec stoïc drama, il a fallu débiter le vieux pommier du jardin, couché par le poids de la neige. je ne cache pas ma profonde tristesse de voir un si bel arbre (on peut le voir ici du temps de sa splendeur) finir en morceaux, et je sais que chaque bûche issue de son vénérable tronc réchauffera mon âme plus que toute autre. adieu.

pommier