grosse pression aujourd’hui au studio : 65 mines street viennent maquetter quatre titres avant de partir à los angeles enregistrer leur prochain album. grosse pression disais-je, car toutes les entrées de notre interface audio sont utilisées (28 lignes simultanément), mais également grosse pression dans le bas du spectre, c’est un groupe de reggae quand même, et grosse pression enfin car l’enregistrement se fait en situation de live. ceux qui l’ont pratiqué savent. heureusement, la disposition du studio leur permettra de réparer les éventuels petits accidents sans coup férir.
news
acknowledgement of failure (5)
derniers réglages de la hauteur des micros et des effets, et on peut attaquer les guitares en son clair pour acknowledgement of failure. on va assez loin dans le son, espérons qu’aucun défenseur de l’art pur ne vienne nous dégonfler nos effets.
acknowledgement of failure (4)
mixage de directors cut ce matin, et fin des prises de chant cet après-midi pour les quatre titres de acknowledgement of failure. les prises auront pris un peu plus de temps que prévu, mais le résultat final sera à la hauteur. off ce week-end, en attendant, la semaine prochaine, la fin des guitares pour acknowledgement of failure, kingsqueer et 65 mines street.
acknowledgement of failure (3)
suite des prises pour acknowledgement of failure, avec aujourd’hui le début des prises de guitare. comme souvent lorsqu’il n’y a qu’un seul guitariste dans le groupe, on double, voire triple les guitares. l’occasion de faire jouer notre gibson les paul et notre custom77 london’s burning dans notre nouvel ampli diezel vh4. quand vous saurez qu’à midi on mange de la saucisse de teaumor et des pommes de terre, vous aurez saisi le concept de la journée : le gras.
acknowledgement of failure (2)
aujourd’hui on enregistre de la basse, de la basse et de la basse, et aussi du chant, parce qu’on adore travailler le dimanche et que les membres d’acknowledgement of failure ont finalement décidé de faire toutes les prises au studio — i.e. sous notre bienveillante surveillance, et à grand renfort d’eau minérale (le rock n’est plus ce qu’il était). suite et fin des prises à la fin de la semaine prochaine.
acknowledgement of failure
début de l’enregistrement de quatre titres pour acknowledgement of failure, groupe fusion typée 90s de besançon, avec qui nous avions déjà travaillé en 2008 — inutile d’aller chercher dans les archives cependant, je n’ai pas encore fini l’importation dans cet encore nouveau site des news des années 2007 et 2008. on enregistre pendant deux jours la batterie et la basse, les guitares seront faites à la maison puis ré-ampées ultérieurement au studio.
newsletter #16
mighty worm radio show
pour ceux qui nous ont raté lors de notre passage il y a une dizaine de jours chez les inénarrables mighty worm, voici l’occasion de réécouter l’émission. deux heures de discussions sur les coulisses de notre métier, depuis le déroulement des sessions d’enregistrement jusqu’au mastering, et des titres enregistrés, mixés et masterisés chez nous. en plus les deux animateurs n’ont dit que très peu de gros mots cette fois, vous pouvez donc faire écouter cette émission à vos enfants en toute sécurité, directement sur le lecteur ci-dessous.
paris sépia
une journée un peu grise pour un enregistrement monochrome de quelques morceaux de paris sépia. chansons, valses et musettes, au banjo et à l’accordéon, ces morceaux feront l’objet d’une mise en image prochainement.
mighty worm radio show
hier mercredi, nous avons été interviewés par les anges de la radio réalité — lucas et ben — fiers représentants de l’association mighty worm. ils officient dans une émission hebdomadaire (mighty worm radio show sur radio campus) où l’esprit de coubertin règne. rediffusion ad libitum (voire ad nauseam) sur podomatic et sur la kicking radio ! stay tuned.
nouvelles du front
cher journal,
cela fait maintenant 9 jours que robby defer et ses camarades sont là. c’est comme s’il avaient toujours été là. ils m’observent, je les surveille. on se guette.
les habitudes s’installent et la promiscuité fait son office. dans les lourdes odeurs de cuisine, dans la chaleur de la salle des machines, ils suent leur peine. ils passent du réfectoire à la couchette, et de la couchette à la cabine, en devisant sur leurs mères et leurs femmes, les bras croisés sur leurs ventres mous.
puis, soudainement, les riffs teutoniques s’enchaînent sur des instruments germaniques, dans un bruit de métal et la confusion alcoolique.
demain, au couchant, rompus mais comblés, ils regagneront leurs rivages brumeux pour se préparer au prochain combat.
robby defer (part.3)
suite des prises de guitares, entrecoupées de prises de chant, dont certaines effectuées au travers de notre ampli marshall, qui sert définitivement à tout dans notre studio. cela fait maintenant une semaine que nous vivons en quasi autarcie et il reste encore du travail à abattre, mais yann et moi devrions pouvoir reprendre notre vie sociale à la ville au milieu de la semaine prochaine. en attendant, c’est telecaster, tambourin et gros marshall.
robby defer
robby defer
hier débutait une longue session pour enregistrer le projet personnel de robby defer (qui fut guitariste de ange). douze titres au programme, allant du rock progressif au blues, avec, en invité sur quelques morceaux, dominique de carol’s cousin. robby n’apparaît pas sur ces photos, mais il veille au grain, et vous aurez probablement l’occasion de le voir sur ces pages dans les jours prochains.
semaine mastering
en dépit du temps quasi estival, c’est quand même la rentrée cette semaine, aussi nous travaillons depuis hier sur les masterings de tomcat blake, eskape, orient x press, et roudix, ces deux derniers artistes nous étant envoyés par le label 33 néons. les images ci-dessous sont aussi laides que le travail est précis, mais nos photos ne peuvent pas tout le temps être super sexy* non plus.
* j’ai eu un doute sur le pluriel de sexy, et wikipedia dit qu’on peut faire les deux, mais ça me semblait assez bizarre « sexys ». par ailleurs, sur cette fameuse page wikipedia, nous avons appris l’existence de nombres « sexy », et ça c’est complètement cool. ou sexy.