dust

nous avons commencé hier une session de cinq jours avec trois des quatre membres aux surnoms fleuris (que la décence m’interdit de dévoiler dans ces pages) de dust, combo plus ou moins rhônalpin, pratiquant un stoner metal typiquement lyonnais — ce style musical ayant bien évidemment été inventé dans la merveilleuse cité rhodanienne, au même titre que la salade, et la saucisse de morteau. cinq titres, quarante minutes, ils prennent leur temps.